Le tribunal de grande instance de Paris a interdit à la compagnie de chauffeur VTC l’utilisation du mot « taxi » dans sa communication et dans son nom.

Vous avez sûrement remarqué la disparition du A et du I dans le nom du nouveau venu sur le marché du chauffeur VTC français. En effet, le tribunal de grande instance de Paris à considéré qu’elle utilise de manière « illicite et trompeuse » le terme « taxi », selon.

L’entreprise estonienne, soutenue par le chinois Didi et  implantée en France depuis 6 mois , a l’obligation de « cesser toute utilisation du mot « taxi », que ce soit dans son nom, dans ses « activités de mise en relation comme centrale de réservation de VTC », ainsi que dans toute communication ».

La plateforme, selon la décision du tribunal de grande instance, est aussi condamnée à payer à plusieurs syndicats de chauffeurs de taxi la somme de 3.000 euros.